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AIRCOMPAGNIE

puce.gif (1696 octets)    LA PRESSE  


- Article de Jack Lang 1990...

 

- LES ANDROÏDES :

La Biennale de la Danse prend l’air.

Hip hop droloïde créé par Aircompagnie.

Un spectacle résolument délirant : Sur des rythmiques hip-hop et des instrumentations que n’auraient pas renié les gangsters du rap californien, les robots « smurfent ». Des gestuelles saccadées en déplacements robotiques, une chorégraphie ultra pop et terriblement sympathique se met en place. Vivifiant, le côté décalé de cette cyber - cérémonie de Jean Claude Carles pour Aircompagnie conquiert le public.

Guillaume Médioni, Le Progrés 14/09/2006        

 

Article de Guillaume Médioni   Le Progrés   format Jpg

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A Biennale of Butoh, Bach, Hip-Hop, Robots and touches of Dakar.

Aircompagnie’s « Androïdes », six too-cute robot-costumed dancers doing kiddie-oriented routines in an outdoor plaza to bad French hip-hop   music and Rameau. 

The New York Times, September 18, 2006

 

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Les robots, danseurs hip hop d’Aircompagnie ont sublimé le public.

En ville, autour de l’amphithéâtre, ils étaient nombreux dès 16 heures à attendre les artistes d’Aircompagnie pour le spectacle « Les androïdes » qui avait déjà « cartonné » l’avant veille au soir… Nos robots humanoïdes ont du talent mais aussi beaucoup d’humour. Ils sont capables d’évoluer en synchronisation, tout comme ils peuvent comme l’on dit « disjoncter ». Visiblement, les festivaliers ont apprécié puisqu’ils l’ont mis en tête des spectacles de ce Festiventu 2007.   

Gilbert Guizol, Corse matin , 03/11/2007

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Lâchons les robots! Le dictionnaire Robert écrit que l'androïdes est "un automate à forme humaine". Jean Claude Carles, dans son dernier spectacle de rue, retourne la formule. Ses androïdes sont plutôt des humains en forme de robots qui arpentent la ville au rythme d'une sono mobile. Six danseurs, encapuchonnés de blanc, comme de petits robots pictogrammes de jeux vidéo, pratiquent le locking et le boogaloo dans tous leurs états tandis que Jean Claude Carles en homme machine recule dans sa cabine à roulette, distilant du son, tour à tour hip hop, soul, ou atmosphérique. Le public réagit, tape dans les mains, recule, avance pour suivre la progression de cet étrange groupe d'androïdes venu d'une autre planète. Créé lors des Invites de Villeurbanne, ce spectacle sans prétention se laisse regarder. Et les enfants adorent. Rafraîchissant!

DANSER (Août 2006) Gallia Valette-Pilenko

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Libération :

Article de Marie Christine Vernay du 2 octobre 2006    fichier PDF

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Depuis quelques années, Jean Claude Carles va à la rencontre des gens en investissant le pavé des villes.

La troupe robotisée se déplace avec réalisme. Mais tour à tour, les robots pètent les plomb, les machines se détraquent, s'humanisent un peu. Ces instants délirants sont accentués par un départ et une arrivée très carrés, en mesure et en groupe. Le ton de l’humour prévaut, les robots fendent la foule, jouent avec elle…

   Thomas Flagel, Œil en coulisse N° 3

Article de Thomas Flagel  (Oeil en coulisse N°3)   format PDF

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Biennale de la danse, le bilan.

L’ex-danseur de l’opéra, Jean Claude Carles a fait une réapparition très remarquée…

Françis de Conink, Lyon Poche 4 au 10 octobre 2006

 


- LES IN-DROÏDES :

Le Dauphiné Libéré, 23/02/2008 (Fichier PDF)

L'illusion est parfaite, tant ces robots deviennent comme une seconde peau pour les cinq danseurs ... La compagnie de ces robots séduit par sa poésie, son humour, sa complicité avec les spectateurs.

Le dauphiné  Libéré, 25/04/2008


- ALGER LA BLANCHE

Défilé de la Biennale de la danse de Lyon 2006

"Alger la blanche" a futuristic vision in swooping, swirling white.

The New York Times, September 19, 2006

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Villeurbanne. Une Alger la blanche sous l'oeil de Jean Claude Carles: Villeurbanne voit blanc et signe une belle anticipation, technoïde et cybernétique, du port algérien. Rythme, sensualité... Carles voit loin et Alger entre dans la danse!

LE PROGRES, 18 septembre 2006, Guillaume médioni et David S. Tran

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Alger la blanche entre dans la danse.

Vibrations orientales, rythmes électros et émotions fortes pour les 205 danseurs et chanteurs villeurbannais. Alger la blanche, la futuriste s'est glissée sur le parcours du défilé rue de la République à Lyon. 300 000 spectateurs ont découvert la vague blanche de Villeurbanne. La prouesse des acrobates suspendus, le char majestueux, la sensualité des danseuses, la spendeur des costumes et la chorégraphie sophistiquée de Jean Claude Carles étaient accompagnés d'aplaudissements incessants de la foule. Un souvenir inoubliable pour les nombreux participants villeurbannais et une fantastique aventure humaine qui honore avec brio les dix ans du défilé lyonnais, la plus grande parade dansée d'Europe.

VIVA Magazine , octobre 2006


- ENGA MELRACH (Défilé de la Biennale de la danse 2004)

Le groupe de Meyzieu, dirigé par Jean Claude Carles, avec sa machine tentaculaire dévoreuse de cerveaux et ses danseurs tout en gris et blanc, ont offert une chorégraphie parfaitement huilée, digne des meilleures compagnies des Arts de la rue. Malgré les années, le défilé de Lyon n'a rien perdu de sa spontanéité ni de sa pertinence...

Le Monde (21 septembre 2004) Sophie Landrin


- POINTURE

Un quatuor humoristique et baroque avec des danseurs clown.

Un travail de musicalité sur une partition de Mozart.

"Pointure, un clin d'œil à l'univers des clowns. Chaussés de godillots, les quatre danseurs s'en donnent à cœur joie. Cabrioles, grands jetés aériens, jeux de mains, jeux de pieds. Tout est prétexte à jouer avec les objets (en l'occurrence il s'agit d'un banc, seul accessoire). Ce n'est pas un hasard si Jean Claude Carles a choisi un morceau de Mozart, pour mieux le détourner. Quatuor endiablé. Pointure est une bouffée d'oxygène".

Les Saisons de la Danse.  Gallia Valette Pilenko

" Pointure ", c’est avant tout une manière simple d’aborder la danse contemporaine. C’est avant tout un spectacle qui s‘adresse à tous, amateurs candides ou connaisseurs exigeants.

Le Dauphiné..V. Cuvellier


- LES PETITES PHRASES

De la poésie dans l'air     Jean-claude CARLES est un touche à tout qui a déjà bien roulé sa bosse. Danse classique, break dance, danse contact... sa curiosité est sans limite et sa gestuelle s'inspire de ses différentes techniques. Après "Le Pauvre Songe", une pièce pour cinq danseurs, foisonnante d'images, Jean-Claude CARLES a souhaité revenir à une "forme plus épurée, plus charnelle et sensuelle". Sa dernière création "Les Petites Phrases" est construite comme une série de courtes pièces indépendantes . 

LYON CAPITALE LE SUPPLEMENT, Novembre 1997, Aude Spilmont

A ne pas manquer "Les Petites Phrases", chorégraphié par Jean -Claude CARLES. Ses solos, tout en sobriété, sont lumineux par la sincérité et l'energie qu'il dégagent.

LYON CAPITALE, Manifestation Alliance Danse 1997, Aude SPILMONT


-LE PAUVRE SONGE

"Il y a longtemps qu'on n'avait pas vu une si belle énergie chez ce danseur nerveux et puissant, ancien du Lyon Opéra Ballet. Et les complices qu'il a embarqués dans l'aventure, s'ils ne sont plus tout à fait les mêmes, adhèrent manifestement aux intentions de Jean Claude Carles. S'inscrivant dans la continuité de sa recherche, le mouvement est fluide, enroulé. Les danseurs trouvent leur élan sur le corps de l'autre, notamment dans un duo entre Kévin Taylor danseur immense et massif, et Delphine Gaud, frêle et minuscule danseuse. La danse a gagné en vigueur et peut même devenir frénétique quand Hatem Chraiti (ancien des B.Boys Breakers) s'empare de la scène pour exécuter quelques figures de break-dance. Servie par une bande son touffue d'Alain Lamarche (...) cette pièce témoigne d'une vitalité et d'un réel renouveau dans le travail du chorégraphe"  

Les Saisons de la Danse. Mai 1996. Gallia Valette Pilenko


-SOIREE BLUES

"Traverse et Blues" est une chorégraphie de "l'interdépendance"; C'est surtout un condensé (l'archétype) du style Jean Claude Carles, où l'on voit qu'il a un langage qui lui est propre. Parti de la musique pour construire cet opus, il exprime son univers par une gestuelle très personnelle, à laquelle la gymnastique n'est pas étrangère, toute de rondeurs et d'équilibre. ça tourne, ça roule, ça se coule. les mains, les pieds, les épaules sont très mouvants, éloquents.

Les Saisons de la Danse , mars 1995 . Gallia Valette-Pilenko


Un blues de bonne compagnie.
"Traverse et Blues" et "La Leçon" (d'après Ionesco), deux pièces différentes et complémentaires... La première joue avec acuité sur la fluidité, une douceur évacuant le risque du lyrisme excessif, et jongle joliment avec la circulation des sens et des sensations. L'autre en appelle plus à la violence, à l'abus de pouvoir, à la domination (on est libre d'y lire des affrontements raciaux). Les deux s'enrichissent mutuellement et font de cette création une date conséquente dans la carrière de Jean Claude Carles.

Le Progrès , décembre 1994 . François Cohendy


Un quatuor foisonnant de mouvement et investissant la scène avec la plus grande liberté.
Dans la lignée de la célèbre chorégraphe Trisha Brown, le fil de la danse se déroule dans la facilité et la fluidité tout en étant tonique, rapide, imprévisible. On est surpris de voir combien le blues s'accorde à ces mouvements pétillants et coulants comme de l'eau en cascade. Les danseurs, se laissant aller au déséquilibre ou sautant dans le vide, se rattrapant in extremis dans une connivence digne des musiciens de blues.

Lyon Capitale , décembre 1994 . Aurore Desprès


-CINQ PIECES COURTES

Jean Claude Carles a signé jusqu'ici une série de pièces ludiques, légères, marquées par un esprit d'ouverture et une grande fraîcheur. Dernier et principal volet de ces Cinq pièces courtes créées à Lyon, No Made, programmé en mai 94 à la Maison de la danse-Théâtre du Huitième, met en scène quatre interprètes, dont Jean Claude lui- même. Dans son registre d'élection, le danseur-chorégraphe transforme la danse en un jeu mouvementé entre deux couples, engagés dans un défi humoristique et des contacts où la tendresse l'emporte. Fluide et bien rythmée, la gestuelle explore les limites de déséquilibre dans le travail au sol, les courses autour du plateau et les combinaisons physiques entre des danseurs filiformes, stables, et des danseurs qui jouent sur l'énergie et la tonicité. Dans la lignée évidente du courant danse-contact, Jean Claude Carles construit un spectacle limpide, fondé sur la confiance et la complicité entre les danseurs, lorsqu'ils se laissent aller dans le vide ou confrontent leurs élans. Plutôt que le spectaculaire, le chorégraphe semble avoir privillègié la proximité avec le public, en donnant à voir une série d'exercices, qui coulent à la manière d'une improvisation en studio. Sans drame ni prétentions exacerbées, No Made a la légèreté d'une bulle d'oxygène et les grâces fugitives de jeux d'enfants. La danse, sereine, rime ici avec santé, sensualité : c'est l'originalité et le pari souriant de Jean Claude Carles

Les Saisons de la Danse, Juin 93. Pascaline Dussurget


"Cinq Pièces Courtes", c'est avant tout une manière simple d'aborder la danse contemporaine.
C'est un spectacle qui s'adresse à tous, amateurs candides ou connaisseurs exigeants.

V Cuvellier


Jean Claude Carles propose un travail accompli qui possède l'avantage de la simplicité à destination du public non exercé à la danse contemporaine. De succintes pauses entre chacune des pièces laissent respirer le spectateur, qui savoure mieux cette quinte d'échantillons de danse actuelle, recélant d'ingéniosités.

Le Dauphiné, Novembre 1993. Léo-S Doranthe


-TRIO VERA

Opéra de Marseille: Jean Claude Carles a su utiliser dans son TRIO VERA l'humour qui sied à la jeunesse. Les couples se dédoublent, les apprentis sorciers, en tutu romantique, tirent les fils de cette"dispute" à la sauce clownesque, charmante pochade.

Le Provençal, Novembre 1992. Edmée Santy

Jean Claude Carles a créé avec TRIO VERA un flash sur l'existence artistique et humaine, une pièce entre l'allégresse et la mélancolie, entre l'oppression et la détente, entre le jeu et la contrainte. Carles joue dans cette pièce le rôle du grand maître par lequel tout le monde se laisse mener. Ils se livrent à toutes sortes de jeux de transformation dans des costumes fantastiques, les tissent dans un labyrinthe de fils de caoutchouc qui collent sur eux comme un chewing gum, met en scène un pas de deux trés tendre entre le couple, qui sans transition se voit mêlé à une véritable bagarre pour enfin être laissé en somnambules égarés. Ce sombre spectacle se heurte constamment à l'humour. Avec un pas de trois enthousiaste et joueur, tantôt limité à la surface étroite d'un banc, tantôt utilisant l'intégralité de l'espace, la hiérarchie initiale s'estompe.En dansant, chaussé de galoches de clown, le trio s'envole vers une nouvelle légèreté.

(Traduction de l'article paru dans le "Frankfurter Allgemeine" du 14 mars 1992)


-LES ZYGOMATIQUES

Jean Claude Carles a réussi le pari d'allier danse et humour. Humour par les costumes,humour par la musique. Dans "Les Zygomatiques", cinq danseurs vêtus de simples feuilles de vigne, enchainant les solos sur des airs de musique tzigane ou de vielle à roue, retracent l'histoire de l'évolution du monde, d'Adam et Eve à un univers fantastique peuplé de trolls bizarres. Les muscles du rire que sont les zygomatiques sont effectivement largement mis à contribution dans cette pièce pleine de fantaisie.

L'Echo des Savanes, 1990. Marc Voline


-GLISSADE-EQUILIBRE

Annoncé par Jean Claude Carles l'auteur, comme un ballet humoristique, incarne l'instant où le rire touche la danse comme l'absurde touche l'existence sans pour cela la dénaturer dans son essence,tout au contraire. Dans un remue-ménage aberrant et judicieux tout ensemble, avec une sorte d'idiotie, ou tout au moins déraisonnable devenu source de joie, l'âme lavée de toute réflexion, prend part à la danse, se grise un peu et cherche vaguement dans ce fatras de créatures dépenaillées, la présence d'un lieu-amour invisible. C'est là, chez Jean Claude Carles, et par le truchement de la mascarade, de cette frénésie vécue par quarante personnes ivres ou non, la plus savoureuse dérision de la culture dans la danse ou ailleurs. En vérité, il faut bien de l'adresse pour manier le grotesque avec tant de finesse (...).

Les Saisons de la Danse, décembre 1990. Odon-Jérôme Lemaitre


-CLE A STEP et SOLOSOL

Deux ballets pour le plaisir. Par sa démarche chorégraphique Jean Claude Carles a réussi à créer une forme de danse contemporaine en prise directe avec le public et qui fait la synthèse entre nouveau‚ et professionnalisme. Le corps s'exprime dans une gestuelle dynamique et forte. Très denses, ces deux ballets séduisent et transportent.

Festival d'Avignon. La Marseillaise 88 I C


Un "SOLOSOL" de et par ce fils prodigue, intelligent et drôle, bourré d'humour, dansant en noir et blanc. Une soirée pour quinze "étoiles", Opéra de Marseille.

Le Méridional, Le Provencal avril 90. Michel Taddei et Edmée Santy


-CELLULE

Il y a une scène royale de la danse contemporaine que seuls de rare créateurs parviennent à étoiler d'une fraîcheur enfantine. Un aficionado du rêve; Il dissout, fait volatiliser l'apparence charnelle dans un songe sur la matière et la matière qui en émane sublime.

Lyon Libération 1987 Daniel Licht


-APIS MELLIFICAT

Il a cerné son objet, la stylisation des danses d'abeilles et a chorégraphié avec un soin extrême et une certaine modestie de délicats détournements. Erik Satie confère à cet essai élégant une touche d'étrangeté, avec ses sourires en demi teintes et ses rythmes à cloches notes. Bref, une danse simple et claire, une danse authentique.

Pour la Danse, 1983. Christine Rodes